Radiotunisiamed

    lundi 19 septembre 2016

    Radiotunisiamed un nouveau support audio de Slama Lotfi

    L' activiter Web de Slama Lotfi  vient d’être enrichie d"un nouveau support  audio  Radiotunisiamed  , Une radio pour les tunisiens de deux rives de la méditerrané et d'ailleurs 
    Connectez vous sur  sur http://radiotunisiamed.playtheradio.com/
    et envoyez  vos playlist en liens téléchargeables par message priver ou par mail à  radiotunisiemed@gmail.com
    afin de les écouter
    Un grand merci a l'équipe de RadioTunisiafm et Mer Ahmed Amira pour leurs assistance technique

    On a regarder pour vous

    On a regarder pour vous , une rubrique cinématographique en partenariat  avec Radiotunisiamed  http://radiotunisiamed.playtheradio.com/



    Aimeriez-vous retourner vivre chez vos parents ? À 40 ans, Stéphanie est contrainte de retourner vivre chez sa mère. Elle est accueillie les bras ouverts : à elle les joies de l’appartement surchauffé, de Francis Cabrel en boucle, des parties de Scrabble endiablées et des précieux conseils maternels sur la façon de se tenir à table et de mener sa vie…
    Nom de la Release : Retour.Chez.Ma.Mere.2016.FRENCH.DVDRip.x264-UTT
    Date de sortie : 01 Juin 2016
    Réalisé par Eric Lavaine
    Avec Josiane Balasko, Alexandra Lamy, Mathilde Seigner
    Film Français
    Genre : Comédie
    Durée : 01h31min
    Année de production : 2016
    Qualité : DVDRiP
    Encodage : XViD
    Langue : français

    jeudi 15 septembre 2016

    Radiotunisiamed

    En collaboration avec l'équipe de RadioTunisiafm et Mer Ahmed Amara

     http://radiotunisieweb.wixsite.com/radiotunisiefm

    Nous avons lancer une nouvelle webradio ,c'est une sélection de la musique que nous  écoutons à nos temps libres .et donc nous vous invitons à la découvrir sur RadioTunisiamed

    http://radiotunisiamed.playtheradio.com

    lundi 12 septembre 2016

    En Tunisie , les Ibadites Présentent un autre visage de l'islam

    La Tunisie d’après la chute de Ben Ali (14 janvier 2011) s’est engagée – non sans crises et débats – sur la voie de la démocratisation. Depuis, elle se trouve confrontée à l’opposition des salafistes-djihadistes qui n’hésitent pas à faire parler leurs armes pour faire entendre leur voix. Ils ont à leur actif plusieurs attentats sanglants qui, d’une part, ont éliminé des figures éminentes de la société civile et, d’autre part,porter un coup terrible à l’activité touristique, élément vital de l’économie tunisienne.


    Le 6 février 2013, Chokri Belaïd, homme politique laïque et avocat défenseur des Droits de l’Homme était assassiné ; le 25 juillet de la même année c’était au tour de Mohamed Brahmi, critique farouche des islamistes et fondateur du Courant populaire.
    Deux autres attentats, en 2015, ont visé successivement le musée du Bardo le 18 mars et la plage d’un grand hôtel à Port El Kantaoui le 26 juin. Le bilan fut très lourd : respectivement 24 et 38 morts, sans compter les blessés.




    Aujourd’hui, face au courant laïque et à celui du parti majoritaire Nida Tounes, certes attaché à l’islam mais opposé à l’islamisation radicale de la Tunisie, le mouvement islamiste historique En-Nahda a encore du mal à convaincre de sa rupture sincère avec la mouvance djihadiste, en dépit de sa participation à l’actuel gouvernement de coalition.
    Dans ce paysage, on aurait tort d’oublier un courant mal connu de l’islam en Tunisie : celui des Ibadites, concentré dans l’île de Djerba. S’il n’a manifesté jusqu’ici aucune prétention à agir en tant que tel sur la scène politique, il présente néanmoins des caractéristiques qui méritent d’être découvertes. C’est à cette découverte que nous invite la sociologue et documentariste Agnès De Feo, dans son dernier film intitulé « Ibadites de Djerba, une autre voie dans l’islam ».
    Le lecteur y apprendra à connaître, au travers d’images apaisantes et d’entretiens avec des adeptes et des spécialistes de ce courant, un visage serein de l’islam, qui tranche singulièrement avec celui de Daech et consorts.

    Qui sont les Ibadites ?

    Les Ibadites, du nom d’un de leurs fondateurs Ibn Ibad dont on sait peu de choses, trouvent leur origine dans la crise de succession violente qui a vu le jour dès la mort du Prophète Mahomet (632). En effet, ils seraient issus de la branche des Kharidjites (étymologiquement les « sortants »). Lesquels, après avoir été ses partisans, se sont retournés contre Ali (656-661) - le quatrième calife des débuts de l’islam - autour duquel se constituera progressivement le chiisme. Ils iront jusqu’à l’assassiner après qu’il eut massacré un bon nombre d’entre eux en 658. S’en est suivi un cycle de violence et répression dont ils ont fait les frais, numériquement.

    En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/afrique/article/2015/10/30/en-tunisie-les-ibadites-presentent-un-autre-visage-de-l-islam_4800236_3212.html#QM9JRsXJYOOSAXEt.99

    Les Kharidjites s’implantèrent dans la ville irakienne de Basra, et fomentèrent, aux deux premiers siècles de l’islam, de nombreuses révoltes contre le pouvoir sunnite en place, au nom d’une conception atypique du califat. Pour eux, tout musulman, quel que fût son statut social, son ethnie, son sexe (même un esclave noir et une femme) pouvait prétendre au titre de calife, à condition d’avoir été choisi par la communauté pour sa connaissance de la religion et sa probité. Mais cette branche fut, très tôt, affaiblie par des divisions entre modérés et intransigeants, d’où naquit, entre autres sectes, celle des Ibadites, la seule qui n’ait pas disparu aujourd’hui.


    L’hérésiographie traditionnelle sunnite a construit et diffusé une sorte de « légende noire » concernant les Kharidjites, faisant d’eux un repoussoir et occultant du coup leur conception « démocratique » et égalitariste du pouvoir. Cette conception suscita l’adhésion des convertis à l’islam non-arabes, notamment parmi les populations perses en Orient et chez les tribus berbères au Maghreb, en réaction à l’autorité centrale. Celle-ci, surtout sous la dynastie des Omeyyades de Damas (661-749), faisait l’objet de critiques en raison de la suprématie qu’elle accordait aux musulmans arabes sur les autres membres de la Oumma, et du faste califal jugé contradictoire avec la simplicité supposée de l’islam des origines. C’est ainsi que furent fondées, au Maghreb, des principautés kharidjites, souvent, éphémères. La plus importante qui dura de 776 à 909, eut pour capitale Tahert (Algérie), centre politique de l’ibadisme, carrefour d’idées et d’échanges commerciaux.

    De nos jours, les Ibadites, très minoritaires, subsistent essentiellement en Algérie dans le Mzab, en Libye dans le Djebel Nafusa et en Tunisie sur l’île de Djerba. Sans oublier Zanzibar sur la côte orientale de l’Afrique et le sultanat d’Oman, seul pays où ils sont majoritaires. Ils sont aussi un certain nombre à vivre en diaspora, en France notamment. Les Ibadites actuels récusent leur filiation aux Kharidjites et à leur doctrine, associée à la violence et à l’extrémisme. Ils ont à cœur, au contraire, de définir la leur comme une voie originale du sunnisme et se veulent des « démocrates de l’islam ».

    ils tiennent à se distinguer de l’islam radical sur plusieurs points : collégialité et esprit d’équité qui animent leurs pratiques religieuses et sociales ; absence d’ostentation de leur mode de vie, perceptible jusque dans l’austérité de leurs mosquées ; ouverture au pluralisme ethnique et religieux. En témoignent les intervenants dans le documentaire d’Agnès De Féo, ainsi que les sites internet des Ibadites et leurs activités culturelles et éditoriales. Cyrille Aillet, l’un des meilleurs connaisseurs de cette famille de l’islam souligne : « Refusant d’être cantonnés dans une périphérie, les Ibadites revendiquent une place à part entière dans l’orthodoxie, et un rôle possible dans la rénovation de l’islam. »
    Il ajoute que du côté d’Oman, devenu la vitrine mondiale de l’ibadisme, le discours officiel vante l’esprit de tolérance de la société locale, revendiqué aussi à Djerba. Mais cet esprit de tolérance n’est pas qu’un slogan politiquement correct. Rappelons que - malgré l’attentat commis en 2002 contre le judaïsme local par un terroriste affilié à Al Qaïda - l’île de Djerba, continue d’abriter une des dernières communautés juives du monde arabe (700 personnes environ) et la « Ghriba », l’une des plus symboliques synagogues du monde, lieu d’un important pèlerinage réunissant chaque année plusieurs milliers de juifs venus de l’étranger, désormais sous très haute surveillance.
    Le film en intégralité : Ibadites de Djerba, une autre voie en Islam, documentaire d’Agnès De Féo, produit par Marc Rozenblum - Sasana Productions 2015 (27,30 minutes)




    samedi 10 septembre 2016

    Bonne fete mes amis, inchallah aidkoum mabrouk snin dayma




    Bonne fete mes amis, inchallah aidkoum 

    mabrouk snin dayma

    البنك الفرنسي التونسي: 700 مليون دينار ينهبها خزندارات تونس الجدد



    يوم الثلاثاء 29 مارس الفارط، أعيد فتح أحد الملفّات التّي غُيّبت منذ سنتين. في القاعة 
    الرابعة من محكمة الجنايات في تونس العاصمة، لم يحضر أحد من المتّهمين أو المُدّعين، على الرغم من أنّ القضيّة تتعلّق بعملية اختلاس جرت أطوارها على أعلى مستويات دوائر القطاع الماليّ العمومي. ففي ميزان دفوعات البنك الفرنسي التونسي، أكثر من 700 مليون دينار تمّ تسجيلها كديون غير مستخلصة، وهو ما يمثّل رأس مال الشركة التونسية للبنك، التي يعتبر البنك الفرنسي التونسي أحد فروعها. ومع ذلك، يبدو أنه لا الشركة التونسية للبنك، أو البنك المركزي التونسي أو وزارة المالية ولا حتى وزارة أملاك الدولة اعتبروا أن الحضور إلى المحكمة ضروريّ أو مهم. في هذه المقال، نسلّط الضوء على المافيا الاقتصاديّة، وأبرز فاعليها وآليات عملهم

    بقية المقال



    vendredi 9 septembre 2016

    JCC 2016 : La liste complète des films en compétition


    CINÉMA- Les organisateurs des Journées Cinématographiques de Carthage 2016, ont annoncé la sélection officielle des 13 films tunisiens en compétition, pour la 27 édition. Ils sont répartis selon quatre catégorie.
    Dans la catégorie: Longs métrages
    • "Chouf " de Karim Dridi
    • "Thala, mon amour" de Mehdi Hmili
    • "Zeineb n’aime pas la neige"de Kaouther Ben Hnia
    • "Demain dès l’aube"de Lotfi Achour
    Catégorie: le Prix de la 1ère œuvre ( Prix Tahar Chriaa) 
    • "The last of us (AkherwahedFina)"de Alaeddine Slim
    • "Hedi ( NhebekHedi )"de Mohamed Ben Attia
    Dans la catégorie: Courts métrage
    • "La laine sur le dos» de Lotfi Achour
    • "Talik"de Kaies Zaied
    • "Lila kalba"de Emna Bouyahia
    • "Les tisseuses de Chaamni" de Naoufel Saheb Ettabaa

    Dans la catégorie: Carthage Cinépromesse
    • "Chmendifir"de Houda Mhadhebi
    • "Zone" de Tayssir Mathlouthi
    • "Rouge sur blanc" de Raya Bouslah
    Le jury
    Le Mauritanien Abderrahmane Sissako sera président du jury de la compétition des longs-métrages.
    La Burkinabée Maïmouna N’Diaye présidera, quant à elle, celui des courts-métrages.
    Maïmouna N’Diaye, détentrice du prix de la meilleure actrice aux JCC 2015, sera à la tête de la compétition des films émergents. Une section qui se poursuivra à la demande des étudiants des instituts supérieurs de cinéma. En plus des trois films tunisiens, d’autres de 36 pays hôtes des JCC participeront à cette compétition qui sera ouverte aux réalisateurs émergents.
    Au programme!
    Présentant les grandes lignes de cette édition, Ibrahim Letaief, directeur des JCC 2016, avait annoncé que la cérémonie d’ouverture verra la diffusion de “Fleur d’Alep” de Ridha Béhi avec, dans le rôle principal, l'actrice tunisienne Hend Sabri. Un film en lice pour la nomination aux Oscars.
    La journée du 29 octobre sera marquée par la célébration du 50ème anniversaire des JCC, le plus ancien des festivals arabes et africains dont la date de création remonte à 1966.
    La diffusion des films en compétition sera interrompue lors de cette journée pour céder la place à une rétrospective des films primés lors des précédentes éditions ainsi qu’aux conférences et rencontres prévues à cette occasion.
    Quatorze villes du pays verront durant la même journée, la diffusion de “L’orchestre des aveugles” du marocain Mohamed Mouftakir (Tanit d’Or 2015).
    Les JCC 2016 rendront hommage à deux cinéastes, l’Egyptien Youssef Chahine et l‘Iranien Abbas Kiarostami. Seront, notamment, invités des artistes ayant joué le rôle principal dans les films de Youssef Chahine (1926-2008).

    http://www.huffpostmaghreb.com/2016/09/07/journees-cinematographiqu_n_11886578.html

    Tunisie : La cité de la Culture, dix ans déjà et elle est encore à l'arrêt


    Dans un article intitulé «Tunisie : pourquoi la Cité de la culture peine à voir le jour », Jeune Afrique revient sur la genèse de ce grand projet « impulsé par Zine el-Abidine Ben Ali en 1994, avec une enveloppe initiale de 120 millions de dinars ». La Cité de la culture, ajoute JA, a fait couler beaucoup d’encre et de béton sans pour autant être opérationnelle. Prévus pour une durée de trois ans avec une ouverture en novembre 2009, les travaux démarrés ont été mis à l’arrêt pendant cinq ans, en 2011, avant de reprendre en mai dernier.
    Le projet qui a englouti 75 millions de dinars entre 2006 et 2011 revient sur le tapis, notamment en raison de la nomination en août 2016 du musicologue Mohamed Zinelabedine, nommé chef de ce projet en 2008, à la tête du ministère de la culture.
    Prévu sur près de 49 000 m² couverts, l’espace comprend un théâtre, une cinémathèque, un Centre national du livre et de la création, un Centre national du cinéma et de l’image, des studios de production, trois salles de spectacles ainsi qu’un musée national des arts plastiques modernes et contemporains.
    Ce projet ambitieux, explique l’auteure de l’article Frida Dahmani, s’est immédiatement heurté à de nombreuses difficultés. La nature du sol vaseux et l’envergure de l’édifice a contraint les responsables tunisiens à réaliser des fondations en profondeur avec un béton spécial Surpris par les coûts réels, le groupe s’est retrouvé face à un dépassement de budget dû, selon lui, à des études mal ficelées entraînant des évaluations erronées.
    Déterminé à réduire le déficit public, le gouvernement de Mehdi Jomâa entame en 2015 une procédure de résiliation du contrat de Geosan Group pour manquements à ses engagements contractuels. L’opérateur tchèque impute à l’insurrection de 2011 les retards accumulés. Sur ce point, la justice lui donne raison et un accord amiable est trouvé.
    En marge, le ministère de la Culture lance quand même un appel d’offres pour le parachèvement des travaux et la construction d’un musée national des civilisations avec une livraison de la première phase en mars 2017.
    Les entreprises sont invitées à s’appuyer sur un financement extérieur, public ou privé, et à produire une garantie tandis que le ministère argue de la création de 400 à 700 emplois pour la durée des finitions.

    vendredi 2 septembre 2016

    Faut-il s'inquiéter de la montée en puissance de l'UGTT ?


    Houssine Abassi est partout dans les journaux, sur les ondes et les plateaux, se répandant en oukases, fixant des lignes rouges et prodiguant ses conseils, toisant le pouvoir politique de haut. On savait très bien que l’UGTT n’était pas seulement une organisation sociale. Mais aujourd’hui, elle est devenue aussi un acteur incontournable de la scène politique et entend le faire savoir urbi et orbi. Et surtout, elle a le beau rôle. Elle ne participe pas au gouvernement, mais elle s’érige en organe de contrôle de l’Etat en même temps que le parlement. Cosignataire du Document de Carthage, elle ne veut pas se contenter de jouer les faire valoir et fait entendre sa différence. Il faut dire que son secrétaire général s’en acquitte fort bien. Son chiffon rouge, c’est etta9achouf (l’austérité), une éventualité que le chef du Gouvernement n’a pas écarté, mais dont il n’usera qu’en dernier recours. Le secrétaire général de l’UGTT ne veut pas en entendre parler. Et invoque le fameux « Document de Carthage » qui a prévu la lutte contre l’économie informel, la contrebande et l’évasion fiscale, ce qui devra permettre selon lui d’accroître les recettes fiscales du pays et d'éviter le recours à l'austérité. Il précise sa pensée : « il faut que les sacrifices soient partagés». Il n’est donc pas question de suspendre les recrutements dans la fonction publique dans l'éducation et la santé, ni de toucher au statut des entreprises publiques » (entendez ne pas  privatiser). Et pour clore ce dossier, il nous annonce un scoop : le chef du Gouvernement ne touchera pas aux recrutements dans ces deux secteurs. Il appelle ensuite à déclarer Kasserine, zone sinistrée. Il n'est pas pour les sit in, mais «comprend» qu'on y ait recours, «faute de dialogue». Enfin, il évoque les augmentations des salaires dans le secteur privé y compris dans l'hôtellerie.

    Faut-il s'inquiéter de la montée en puissance de l'UGTT ? En tout cas, cette situation est inédite. On était habitué certes à ses incursions sur le terrain politique. Aujourd'hui, elle veut avoir son mot à dire sur tous les dossiers et être associée notamment à l'élaboration de la loi de Finances et du budget de l'Etat en plus du Plan. l'appétit venant en mangeant, on est en droit de se demander jusqu'où ira-t-elle dans cette voie ?