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    vendredi 1 mars 2019

    Tunisie: Lettres empoisonnées à des personnalités, voici quelques noms ciblés



    Après l’annonce mercredi par le ministère de l’Intérieur de l’interception de 19 courriers contenant des substances toxiques visant à empoisonner certaines personnalités publiques, le chroniqueur et animateur Mohamed Boughalab a révélé vendredi sur radio Shems Fm certains des noms ciblés.

    Parmi eux figurent Hamza Balloumi, Lotfi Amari, Naoufel Ouertani, Mohamed Boughalab et Maya Ksouri, ainsi que le secrétaire général de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), Noureddine Taboubi, son secrétaire général adjoint, Bouali Mbarki, et la présidente de l’Instance nationale de lutte contre le trafic des personnes, Raoudha Labidi.
    Le ministère de l’Intérieur a annoncé dans un communiqué que la direction de la sécurité publique avait pu intercepter 19 courriers, dans le cadre d’une opération préventive et après la coordination avec le bureau du procureur général du tribunal anti-terroriste.
    Cette opération a été menée sur la base d’informations selon lesquelles un groupe terroriste planifie pour cibler certaines personnalités en envoyant des lettres contenant des substances toxiques.

    Tunis tous risques : Les braqueurs n’ont plus peur de rien


    C’est une forme de terreur soft qui règne sur Tunis avec des braquages qui se multiplient de manière exponentielle.
    En plein jour, dans les endroits les plus fréquentés, à la proximité des gares et des commerces, les braqueurs sévissent.
    Chaque jour, les réseaux sociaux rendent compte de plusieurs faits dans lesquels de simples passants sont agressés et dépouillés.
    La tendance est à la hausse dans ce domaine et à part les réactions citoyennes, on attend toujours un plan significatif pour reprendre en main la situation.
    Les rues de Tunis et de ses banlieues deviennent dangereuses et c’est visible à l’œil nu.
    Un commentaire désabusé résume à sa manière la situation actuelle: « Heureusement qu’ils ne sont pas armés ».
    Et d’une certaine façon, c’est tout dire.