Radiotunisiamed

    mercredi 29 novembre 2017

    Quelles sont les familles tunisiennes réellement « baldeya » ?



    Pour commencer, que désigne réellement le terme  » baldi/beldi » ?
    Utilisé dès le début du xixe siècle, le terme beldi, traduit par « tunisois de souche », désigne les élites féodales, religieuses et sociales mises en place pendant la période « moderne », à partir du xvie siècle. On défit généralement cette « baldisation » par l’acquisition d’un dar (maison) dans la médina, d’une boutique dans les souks, d’une oliveraie dans les environs et d’un carré (tourba) dans un cimetière aux portes de la ville (principalement celui du Djellaz)
    d'Après nos recherches, ils existent 171 patronymes associés aux familles tunisoises :

    A : 

    • Abbassi
    • Agha
    • Allel
    • Annabi
    • Anoun
    • Aouij
    • Asfouri
    • :Azzaiez
    • Azzouz

    B :

    • Baccouche
    • Bach Hamba
    • Bach Mamlouk
    • Bach-Tobji
    • Bahi
    • Bahri
    • Balma
    • Baroudi
    • Baïram
    • Belhadj
    • Belhassen
    • Belhassine
    • Belhouane
    • Belkadhi
    • Belkateb
    • Belkhodja
    • Bellagha
    • Bellamine
    • Ben Abdallah
    • Ben Achour
    • Ben Aissa
    • Ben Ali Pacha
    • Ben Ali Turki
    • Ben Ammar
    • Ben Arous
    • Ben Ayed
    • Ben Becher
    • Ben Cheikh
    • Ben Cheikh Ahmed
    • Ben Ezzeddine
    • Ben Ghachem
    • Ben Hassine Bey
    • Ben Jaafar
    • Ben Miled
    • Ben Mlouka
    • Ben Mrad
    • Ben Mustapha
    • Ben Osman
    • Ben Othman Dey
    • Ben Romdhane
    • Ben Slama
    • Ben Turkiyya
    • Ben Zaied
    • Ben Zakour
    • Bennani
    • Bessaïes
    • Bokri

    • Bouattour
    • Bouhachem
    • Bouhageb
    • Bouhajeb
    • Boukhris
    • Boussen
    • Bramli

    C:

    • Caid Essebsi
    • Chahed
    • Chamakh
    • Chamari
    • Chaouch
    • Chelbi
    • Chenik
    • Cherif
    • Chouikha

    D : 

    • Dali
    • Daoud
    • Daoulatli
    • Darghouth
    • Dellagi
    • Denguezli
    • Djait
    • Djaït
    • Djellouli
    • Djilani
    • Doraï

    E : 

    • El Almi
    • El Béji
    • El Materi
    • Ennaifer
    • Ennigrou
    • Essaidi

    F : 

    • Farhat
    • Ferah
    • Fourati

    G : 

    • Ghariani
    • Ghanem
    • Ghileb
    • Gorgi
    • Guizani

    H : 

    • Hababou
    • Hachaichi
    • Haddad
    • Hajjam
    • Halfaoui
    • Hamouda
    • Hassairi
    • Hayder
    • Ibn Abi Dhiaf

    J : 

    • Jaiet
    • Jaziri
    • Jemail

    K : 

    • Kaak
    • Kahia
    • Karoui
    • Kassar
    • Kastalli
    • Kchouk

    • :Khalsi
    • Khatteche
    • Khayachi
    • Khaznadar
    • Kheireddine
    • Khouini
    • Klibi
    • Kouroghli

    L : 

    • Ladjimi
    • Lakhoua
    • Laroussi
    • Lasram
    • Louzir

    M:

    • Maaouia
    • Madani
    • Mahersi
    • Mahjoub
    • Mallouki
    • Mbazaa
    • Meddeb
    • Meherzi
    • Mehiri
    • Memmi
    • Messaoudi
    • Mestiri
    • Mizrioui
    • Mohsen
    • Mrabet
    • Mzah

    O : 

    • Okbi
    • Qalchani

    R:

    • Rachid
    • Radhouane
    • Rassaa
    • Riahi
    • Rustum

    S :

    • Saheb Ettabaa
    • Sakkat
    • Samouda
    • Sebaï
    • Settari
    • Sfaihi
    • Sfar
    • Skander
    • Slim
    • Snoussi
    • Stamrad

    T:

    • Tarzi Brahem
    • Tej
    • Thabet
    • Thameur
    • Torgemane

    z : 

    • Zaouche
    • Patronyme:Zarrouk
    • Zmerli
    • Zouari

    © Nour Kaouech

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    mardi 28 novembre 2017

    Fibre Optique : Tunisie Telecom annonce avoir 40.000 prises ready to connect




    La 9ème édition de la conférence «FTTH Council MENA 2017» organisée du 21 au 23 Novembre 2017 à Tunis sous le patronage du ministère des technologies et économie digitale sous le thème «FTTH, Empowering the Digital Vision», a été l’occasion pour les différents acteurs publics et privés, sur le marché domestique et régional, d’exposer leurs visions quant au déploiement de la FTTH et son évolution, notamment en Tunisie.
    La mutualisation, pour un déploiement optimisé de la Fibre Optique
    Aref Gdoura, Sous-Directeur chargé FTTH chez Tunisie Telecom est revenu sur la stratégie de déploiement de la Fibre Otique chez l’opérateur historique. Il a précisé que Tunisie Telecom a commencé à investir dans cette technologie à destination des entreprises en 2008 et dans les quartiers résidentiels en 2010. “Aujourd’hui nous comptons 40.000 prises ready to connect”, a-t-il annoncé.
    Orange Tunisie représenté par sa responsable Regulation & Wholesale, Imen Atallah, a d’abord fait savoir que 70% des Tunisiens abonnés à l’ADSL disposent d’une connexion internet de 4 Méga et que la Fibre Optique est la seule solution pour couvrir les besoins en connexion mobile 4G. “Or, l’équation économique n’est pas sans enjeux. La FTTH (Fiber to the Home) est très couteuse”, a-t-elle indiqué.
    “Déployer cette technologie nécessite une mutualisation des efforts. Il faut donc que les opérateurs arrêtent de déployer la Fibre distinctement et plutôt aller, d’abord vers un partage de la fibre existante, et ensuite réfléchir sur un plan d’action permettant de mutualiser et synchroniser le déploiement de cette technologie”, a recommandé Imen Atallah.
    Hichem Besbes, le Président de l’Instance nationale des télécommunications, également invité de ce panel, a rejoint la responsable Regulation & Wholesale chez Orange Tunisie, sur la nécessité de partager les infrastructures. Il a signalé dans ce sens que “l’INT travaille actuellement sur les règles de partage de l’infrastructure”.
    2018, l’année de la transition légale 
    Lors de la session inaugurale de cette conférence, le Secrétaire d’Etat à l’Economie numérique, Habib Debbabi, a rappelé que la Tunisie a fait un premier pas vers la transition numérique en lançant l’initiative collaborative Tunisie 2020.
    Il a indiqué que cette stratégie repose sur plusieurs piliers. “L’infrastructure est le premier pilier de la transition numérique. C’est pourquoi l’année 2017 a été dédiée à l’amélioration et le renforcement de l’infrastructure des télécoms. Pour ce faire l’Etat a  investi 200 millions de dinars en infrastructures et a décidé l’octroi d’une licence d’opérateur d’infrastructures”, a affirmé Habib Debbabi.
    “Outre cet investissement, l’Etat a alloué 45 millions de dinars pour connecter les administrations. D’ici décembre 2017, nous aurons connecté 550 administrations et établissements à caractère administratif sur la capitale et dans les régions”, a-t-il ajouté.
    Le Secrétaire d’Etat à l’Economie numérique est également revenu sur la signature d’un contrat avec l’opérateur historique Tunisie Telecom pour la couverture des zones blanches. “Ce contrat est d’une valeur minimale de 35 millions de dinars et peut aller jusqu’à 45 millions de dinars”, a-t-il précisé.
    Quant à l’octroi des licences IoT (Internet of Things), Habib Debbabi a signalé que 42 entreprises se sont présentées pour l’obtention d’une licence pour le développement des objets connectés.
    Le 2ème pilier de la transition numérique est selon Habib Debbabi, le cadre légal et législatif. Il a assuré dans ce sens que l’année 2018 sera entièrement dédiée à la transition légale et la création d’un Code du numérique susceptible de faire de la technologie un outil économique et social qui rompt avec les codes de l’économie classique créés dans les années 60/70.
    Le Secrétaire d’Etat à l’Economie numérique a également fait savoir que l’Etat œuvre actuellement pour accorder à l’opérateur historique Tunisie Telecom un nouveau code lui permettant de renforcer sa compétitivité et ainsi faire face à la rude concurrence sur le marché domestique.
    Habib Debbabi a par ailleurs réitéré que l’un des piliers incontournables de la transformation numérique demeure l’éducation, la formation et l’enseignement. “Les universités tunisiennes produisent chaque année 13.000 spécialistes du numérique. Cela dit, notre objectif n’est pas quantitatif mais plutôt qualitatif. Nous souhaitons que les jeunes diplômés, en quittant les bancs de l’école, soient immédiatement opérationnels et n’aient aucun besoin en formation complémentaire pour se lancer dans la vie professionnelle”, a-t-il conclu.
    Nadya Jennene

    Le bonheur, un idéal qui rend malheureux?


    FIGAROVOX/ENTRETIEN - Le philosophe allemand Wilhelm Schmid vient de publier un essai intitulé Le Bonheur. Alors que le sujet de philosophie proposé aux élèves de terminale S est «Vivons-nous pour être heureux ?», FigaroVox lui a demandé sa définition du bonheur.

    Wilhelm Schmid vit à Berlin et enseigne la philosophie à l'université d'Erfurt. Le Bonheur (Éditions Autrement), court opus devenu un succès international, est son premier livre traduit en français.

    FigaroVox. - Votre livre s'intitule Le Bonheur. Comment définiriez-vous celui-ci? Existe-t-il vraiment?


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    JE DÉCOUVRE

    Un deuxième type de bonheur a toutefois une signification encore supérieure pour l'homme moderne : le bonheur du bien-être.

    Wilhelm Schmid. - Il existe trois types de bonheur. Il y a tout d'abord le bonheur fortuit qui doit beaucoup au hasard, à la bonne fortune et qui joue un rôle notable tout au long de la vie. Des événements favorables vous arrivent de manière imprévue. L'ouverture d'esprit peut donner des ailes au hasard favorable, lui donner une chance, même s'il reste impossible de disposer de lui.
    Un deuxième type de bonheur a toutefois une signification encore supérieure pour l'homme moderne: le bonheur du bien-être. Dans le monde contemporain, quand les gens cherchent le bonheur, ils entendent le plus souvent par là une volonté de se sentir bien, de s'amuser, de faire des expériences agréables, de ressentir des envies et des plaisirs, d'avoir du succès, bref: de vivre tout ce qui est considéré comme positif. La société moderne de l'amusement eût été parfaitement impensable sans quête du bonheur entendue dans ce sens. Non qu'il puisse être répréhensible d'éprouver des plaisirs et d'être libéré de ses douleurs. Le problème est que ce genre de bonheur ne dure jamais longtemps. Il a son temps, le «bon temps» d'un bonheur, il réserve des instants heureux pour lesquels l'individu doit se garder ouvert. Une tasse de café qui sent bon et a bon goût est un moment de bonheur de ce type. Ce bonheur a sa signification. Il est judicieux d'en faire usage.
    Mais seul l'art de vivre philosophique est capable d'éviter à un homme de résumer toute sa vie à un unique bonheur de bien-être. Il le prépare en temps utile au fait qu'il y aura d'autres temps, que tout ne peut pas être à tout moment empli de plaisir et que l'on ne parvient jamais à être totalement libéré de la douleur physique et psychique. Lorsqu'on a compris cela, on peut rechercher un bonheur plus durable que j'appelle bonheur de la plénitude et qui passe par la quête de sens.
    Un indice du bonheur national brut a été créé par l'ONU. Le bonheur peut-il se mesurer? A-t-il la même signification dans tous les pays?
    Le bonheur ne peut évidemment pas se mesurer de manière générale, d'autant plus qu'il est très subjectif et que ses représentations varient selon les cultures. Par exemple, dans le bouddhisme, le bonheur signifie être en accord avec son destin, alors que dans la culture moderne occidentale la recherche du bonheur implique au contraire de corriger son destin. Ces deux visions du bonheur sont tellement contradictoires qu'on ne peut pas les comparer.

    L'un des problèmes du bonheur de bien-être est l'excès dans l'attitude d'attente : plus l'espoir d'une vie « positive » est grand, plus il devient difficile de vivre avec une réalité négative.

    Dès le Ier siècle après J.-C., Sénèque écrit: «Tous les hommes recherchent le bonheur.» Le bonheur est-il revendiqué depuis toujours, ou sa quête effrénée est-elle symptomatique de notre époque?
    Les gens ont toujours cherché le bonheur, mais pas toujours avec la même intensité. L'époque contemporaine se caractérise par la recherche immédiate et permanente du bonheur par le bien-être, notamment dans les relations amoureuses. Malheureusement, cet état de bonheur permanent est impossible à atteindre. Les gens sont donc déçus et se séparent. Les gens modernes ne sont pas préparés aux périodes ordinaires de la vie, ils ont du mal à affronter les périodes tristes, grises, quotidiennes dans lesquelles le plaisir doit retrouver des forces. L'un des problèmes du bonheur de bien-être est l'excès dans l'attitude d'attente: plus l'espoir d'une vie «positive» est grand, plus il devient difficile de vivre avec une réalité négative. L'autre problème que pose le bonheur du bien-être est la minimisation de la douleur qui débouche sur une tentative visant à l'éliminer: les douleurs doivent disparaître de la vie humaine. Vouloir les évacuer peut cependant mener non seulement à la perte de l'expérience du contraste qui, seule, rend le plaisir sensible, mais aussi à la perte totale des points de repères dans l'existence.

    Dans l'ère moderne, le manque de bonheur n'est pensable que comme une sorte de maladie qui doit être soignée par tous les moyens sous peine de mort, avant tout de mort sociale, car personne ne veut avoir autour de soi des gens qui « n'ont pas la pêche».

    Les guides du bien-être se multiplient et le thème du bonheur est devenu un véritable marronnier dans les médias. Etre heureux est-il devenu une injonction morale? Peut-on parler de tyrannie du bonheur?
    Oui, on peut effectivement parler de tyrannie du bonheur. La plupart des thèses et articles sur le bonheur ne précisent pas qu'il ne peut être présent tout le temps. Ils taisent qu'il est également possible de rencontrer le malheur dans le bonheur. Dans l'ère moderne, le manque de bonheur n'est pensable que comme une sorte de maladie qui doit être soignée par tous les moyens sous peine de mort, avant tout de mort sociale, car personne ne veut avoir autour de soi des gens qui «n'ont pas la pêche». Il est toutefois possible que cette conception du bonheur rende justement malheureux, voire malade. Les gens peuvent tomber malades en raison de concepts qui fixent à l'existence des normes tellement élevées que la vie, face à elles, est condamnée à l'échec. La notion moderne de bonheur est l'une de ces normes qui poussent systématiquement les gens dans le malheur.
    Dans le rapport sur le classement du «bonheur» par pays, il est précisé que les plus heureux gagnent plus d'argent. L'obsession du bonheur est-elle liée au fonctionnement de l'économie? Sans verser dans la théorie du complot, celle-ci est-elle entretenue volontairement pour nourrir la société de consommation?
    Je ne suis pas contre la recherche du bonheur dans la consommation. Mais pourquoi oublier les gens malheureux? Eux aussi ont besoin de produire. C'est également bon pour l'économie.
    Très longtemps, le bonheur a été proscrit et la foi voulait qu'il ne puisse être trouvé que dans l'au-delà. La recherche du bonheur durant son existence n'est-elle pas un progrès malgré tout?
    D'une certaine manière, la représentation du bonheur comme bien-être vient de la représentation du paradis où les gens sont censés être totalement heureux dans l'éternité. L' «individu moderne» voudrait le paradis sur terre «tout de suite et maintenant» . Cela ne fonctionne pas comme ça. Le paradis est toujours dans l'au-delà, jamais ici.

    Vers l’annulation du visa en destination de 6 pays pour les Tunisiens


    La Tunisie deviendra membre de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et ce au cours du mois de décembre 2017 comme l’a confirmé Karim Ben Bechern, Directeur du département des affaires politiques et économiques et de coopération avec l’Afrique au sein du ministère des Affaires étrangères, à nos confrères d’Express FM.
    Selon ce dernier, il y a une possibilité que cette nouvelle adhésion entraîne l’annulation de visa entre la Tunisie et les 15 pays membres de la CEDEAO qui sont : Bénin, Burkina, Côte d’Ivoire, Gambie, Ghana, Guinée, Guinée-Bissau, Liberia, Mali, Niger, Nigeria, Sénégal, Sierra Leone, Togo, Cap-Vert.
    Il est à noter que les Tunisiens peuvent déjà se rendre sans visa à Burkina Faso, en Côte d’Ivoire, en Guinée, en Guinée-Bissau, au Mali, au Niger, au Sénégal, au Togo et au Cap-Vert.
    Donc, les pays qui deviendront sans visa pour les Tunisiens sont les 6 pays qui restent : Bénin, Gambie, Ghana, Liberia, Nigeria et Sierra Leone.
    F.T.

    هذه أفضل 10هواتف ذكية لعام 2017


    نشر موقع"TechRadar "المتخصص بالأجهزة الإلكترونية تصنيفا جديدا لأفضل الهواتف الذكية لعام 2017. 

    وفي المرتبتين الأولى والثانية للتصنيف جاء هاتفا سامسونغ"Galaxy S8" و"Galaxy S8 Plus" " اللذان طرحا منذ مدة، وتميزا بشاشات كبيرة عالية الدقة وهيكل أنيق مقاوم للماء والغبار وميزة التعرف على الوجوه.
    أما المرتبة الثالثة فاحتلها هاتف"Google Pixel 2" الذي تميز بسرعة الأداء المعهودة في هواتف غوغل والكاميرا التي صنفت ك "أفضل كاميرا هاتف ذكي طرحت هذا العام"، إضافة إلى الشاشة المتميزة.
    ورابعا جاء"iPhone X" أحدث هواتف"آبل" الذي طرح مؤخرا، وتميز بشاشته التي أتت على كامل الواجهة الأمامية بالإضافة لميزة التعرف على وجه المستخدم لفتح وإقفال الجهاز بصورة آمنة، والكاميرا الخلفية المزدوجة القادرة على التقاط أفضل الصور حتى في ظروف الإضاءة السيئة نقلا عن "روسيا اليوم".
    وفي المرتبتين الخامسة والسادسة، جاء"Huawei Mate 10 Pro" و"Samsung Galaxy Note 8"، يليهما جهازا"LG V30" و"LG G6" في المرتبتين السابعة والثامنة.
    كما احتل هاتف آبل"iPhone 8plus" المرتبة التاسعة، يليه الهاتف الصيني المميز"OnePlus 5" المصنف من أفضل الهواتف التي طرحتها الصين هذا العام. 


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    lundi 27 novembre 2017

    En privant le CCIH de 70% de son budget, le ministère de la Culture fait coup double contre son camp

    Par  



    Les mauvaises nouvelles en provenance du Centre culturel international de Hammamet se confirment. Sauf miracle, le CCIH pourrait perdre jusqu’à 70% de son budget actuel et entrer dans l’année 2018 avec un lourd handicap.
    En effet, le projet du ministère des Affaires culturelles consiste à amputer les finances du centre de 70% de son budget, avec les répercussions qu’on peut imaginer sur ce fleuron culturel et aussi sur la haute tenue du festival international de Hammamet.
    C’est comme si le ministère cherchait à faire coup double contre son propre camp. Sinon quelle mouche a piqué les décideurs pour qu’ils s’acharnent à mettre à genoux une institution qui marche et constitue un précieux acquis?
    On semble naviguer entre démarche absurde et projets irrationnels car rien ne pourrait justifier pareille mesure. Plus symptomatique d’un malaise qui ne dit pas son nom, cette mesure a été prise sans consultation préalable et contre toute logique.
    Le ministère ferait coup double contre son camp en mettant à mal l’une de ses institutions les plus performantes et en brisant l’élan du festival de Hammamet unanimement considéré comme le dernier des grands événements culturels de l’été.
    La raison saura-t-elle prévaloir? Comment sortir de cette impasse? Pourquoi cet acharnement contre le CCIH? Un peu plus de transparence quant aux motifs qui poussent le ministère à agir de la sorte devrait être de mise, ne serait-ce que pour éviter les rumeurs les plus folles qui parlent de tentative de vendetta et de passage du CCIH au privé à court terme.
    Personne n’a intérêt à ce que le CCIH soit à genoux et il est incompréhensible que ce soit la tutelle qui cherche à handicaper sa propre institution-modèle.
    En attendant que la situation se clarifie, les milieux artistiques et la société civile sont vivement inquiets, surtout dans un contexte où la culture devrait se déployer plus largement et ses vecteurs mieux soutenus.

    Béchir Ben Yahmed : La Tunisie au bord de l’explosion


    Dans une récente publication le fondateur de Jeune Afrique, Béchir Ben Yahmed, a estimé que la situation de la Tunisie est plus qu’alarmante estimant que “La Tunisie est prise dans un cercle vicieux dont son gouvernement se révèle incapable de l’en sortir”.
    il cite le déficit du commerce extérieur pour 2017 qui devrait atteindre 15 milliards de dinars (plus de 5 milliards d’euros), avec des exportations qui ne représentent plus que 62,7% des importations.
    L’inflation qui grignote le pouvoir d’achat des Tunisiens, une monnaie qui perd à grande vitesse sa valeur par rapport à l’euro (25%) et au dollar américain (15%).
    Une dette extérieure qui explose, avec un service de la dette qui représenterait 25% des exportations en 2017.
    Béchir Ben Yahmed estime que “les Tunisiens ne voient aucune issue, ne croient plus que les hommes et femmes qu’ils ont portés au pouvoir soient en mesure de remettre le pays au travail, de faire revenir la croissance économique”.