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    vendredi 31 juillet 2020

    Entrée en Tunisie – Covid-19 : La classification des pays mise à jour


    Le ministère de la Santé a publié, ce mercredi 29 juillet 2020, une nouvelle mise à jour de la classification des pays en fonction du niveau de risque d’infection au coronavirus.

    Cette classification repose sur des critères scientifiques et les indicateurs épidémiologiques basées sur les différentes sources de données utilisée par les différentes instances internationales.

    Rappelons que les pays sont classés en trois niveaux de risque selon ces critères et indicateurs épidémiologiques.

    Sur la première liste on retrouve les pays où la propagation du coronavirus connait un ralentissement voire un contrôle total de la situation épidémiologique.

    La seconde liste comprend des pays à un risque plus élevé. Les personnes en provenance de ces pays doivent impérativement présenter un test de dépistage (RT-PCR) au coronavirus, effectué avant 72 heures, et ne dépassant pas les 120 heures, à l’arrivée en Tunisie.

    Les pays qui ne figurent dans aucune des listes connaissent encore un risque de propagation du virus élevé. Ils devraient être rajoutés aux listes au fur et à mesure que la situation épidémiologique s’améliore.


    mercredi 29 juillet 2020

    e prochain ambassadeur de France en Tunisie.

    C'est officiel, ce sera lui le prochain ambassadeur de France en Tunisie.
    #André_Parant , 64 ans, natif du Jura et énarque de formation.
    C'est le diplomate pur jus par excellence. Il a fait les services et le cabinet du Quai D'Orsay et a été en poste dans de nombreuses capitales. On peut en citer Rabat (1er conseiller), Dakar, Beyrouth, Bangui, Alger et Le Caire .
    Il fût aussi consul général à San Francisco.
    Il a travaillé avec Hervé De Charette ministre des affaires étrangères de Chirac (1995/1997) comme chargé de mission Maghreb et Moyen Orient. Il a aussi travaillé à la cellule diplomatique de l'Élysée au temps de Sarkozy.
    Lui, c'est un tout autre style que l'actuel ambassadeur Poivre d'Arvor, qui aura, somme toute , marqué de son originalité son passage dans notre pays.

    Lettre à Monsieur le Président de la République Tunisienne, Monsieur Kais Saied

    Monsieur le Président, Après demain, c’est l’Aïd. Après demain, encore une fois mes enfants, Ali et Khadija, ne fêteront pas l’Aïd El Kébir avec leur père. Par Azza ZARRAD (épouse de Taoufik Ben Brik).

    Taoufik Ben Brik, le Fou de Tunis
    Monsieur le Président,

    L’Aïd El Kébir,  cette Grande Fête si sacrée  qui réunit plus de 270 millions de  musulmans du monde entier pour remercier Dieu d’être en vie. Cette fois, encore, Ali et Khadija, ne seront pas entourés de leur père, Taoufik Ben Brik, le journaliste et écrivain tunisien qui a déferlé les chroniques du monde par sa célèbre grève de la faim de 42 jours. Cette année, tout, comme, il y a dix ans déjà, sous Ben Ali,  il n’y aura ni méchoui sur du brasier de charbon, ni salade méchouiya, ni harissa faite maison avec du piment fort, baignée généreusement dans de l’huile d’olive venue directement des terres ancestrales de Ksar Hellal. Cette fois, ils ne goûteront pas au couscous spécial à l’arôme de l’Aid.

    Taoufik, loin. Taoufik, en prison, il n’y a pas de fête.

    Taoufik, est votre ami. Avez-vous une idée quelconque de ce que  lui et a sa famille ont sacrifié pour qu’un jour Ben Ali soit destitué ?

     Voici quelques scènes de notre pain quotidien.

    Ali, avait, à peine 2 ans, alors que je venais de garer ma Peugeot 106 bleue métallisée toute neuve, surnommée Zmorda par Taoufik, un motard  nous lança, un jet de briques. J’entends encore les cris et les pleurs de mon fils qui, depuis ce jour là,  n’a plus parlé et s’est enfermé dans un mutisme assourdissant

    Un jour Ali, alors âgé seulement de 12 ans a été arrêté par des policiers en costume noirs,  sur des motos Yamaha. Après avoir vérifié son identité, et s’être assuré qu’il s’agissait bel et bien du fils de Taoufik Ben Brik et de Azza ZARRAD qu’ils avaient en otage, ils l’ont sommé de venir avec eux pour lui raser le crâne et l’enrôler dans l’armée.

    Khadija,  venait de naître, au début de ce mois de décembre, lorsque notre maison a été attaqué par une escadre d’agents de Ben Ali  Khadija sera considérée « la plus jeune victime de la dictature » par Moncef Marzouki, qui deviendra après la chute de Ben Ali, président de la Tunisie un certain 12 décembre 2011, grâce au vote par l’Assemblée Nationale Constituante, créée, on ne sait comment ni pourquoi.

    Mes enfants ne pouvaient pas jouer avec d’autres enfants. Persona non grata. Et, quand je les emmenais jouer dans la cour de la Résidence d’en face, des agents aux costumes noires et menaçants nous entouraient nous faisant fuir…

    Où on allait, à l’école, au collège, au marché, nous étions suivis. Nous étions escortés par de motards et de vieilles voitures banalisées, pleins feux sur nous. Ils terrorisaient mes enfants.

    Lorsque Ali ou Khadija  tombaient malade le soir, je n’avais pas comment demander assistance ou urgence. Mon téléphone était coupé, ma voiture vandalisée.

    Une fois, Monsieur le Président, on a arraché le volant de ma Zmorda, ma vieille Peugeot 106. Un procès verbal existe au niveau du commissariat de police d’El Manar.

    Un jour, en plein Avenue de la liberté, Taoufik,  a été pris à parti par des malfrats balafrés envoyés par l'ex dictateur Ben Ali, qui, munis de chaines de fer, se jetèrent sur lui et le rouèrent de coups.

    J’entends encore et j’entendrai toujours, Taoufik, qui criait « Ya Fathi oukhaiy, Ya Fathi oukhaiy… ( Au secours, Fethi, mon frère) ! ».

    Taoufik rentrait à la maison avec une barre de chocolat achetée du supermarché Soula, quand il a été soudainement attaqué, par une horde d’agents de Ben Ali qui lui cassèrent le bras. Pour se sauver, il a dû sacrifier son beau blouson daim couleur camel, que son frère aîné Hédi, lui a offert. Il s’est réfugié chez un voisin, professeur cardiologue. Le médecin le repoussa, le chassa : « Dehors, lui dit-il »…

    Nous étions sous haute surveillance, isolés, téléphone coupé, voiture vandalisée. Nos, ressources étaient insuffisantes car mon mari était interdit de travailler en Tunisie.  Marginalisés, nous étions agressés et menacés en permanence. On ne dormait pas. On était des chiens de garde pour les enfants. Nous en sommes fiers. Mes enfants sont nés Adultes. Leur enfance leur a été usurpée.

    Monsieur le Président,

    Ceci, n’est qu’une gouttelette des sacrifices de Taoufik Ben Brik pour la liberté du mot, du verbe qu’il sait si bien aiguiser.

    Après la Révolution, Nous avons espéré vivre normalement, en paix et savourer pleinement le gout de la liberté payé chèrement. Rien n’a réellement changé… La vie de mon mari a été sérieusement menacée à maintes reprises. Notre maison a été marquée par une croix rouge…Un message adressé aux tireurs à gages qui signifie : ICI, L’HOMME A ABATTRE.

    Je me rappelle, en 2013, le jour où je suis allée présenter mes condoléances à Besma Khalfaoui, suite à l’assassinat de son époux Chokri Belaïd, celle-ci me fit une confidence : « Nous avons toujours cru, Chokri  et moi,  qu’on allait assassiner Taoufik, ton mari. »

    Mes enfants, déjà fragilisés par des années de persécution et de harcèlement ont été traumatisés.  Il a été décidé, alors qu’ils doivent quitter la Tunisie pour terminer leurs études en France. Mon fils Ali, entré en France en septembre 2015 ne mettra plus jamais les pieds en Tunisie. J’ai dû abandonner ma carrière professionnelle au sein d’une prestigieuse banque de Tunisie pour rejoindre mes enfants. Taoufik, resté seul à Tunis,  a dû nous rejoindre cette année pour que la famille soit réunie. Il devait surtout être aux cotés d’Ali, victime de persécutions, de harcèlements et d’agressions même après la Révolution.

    Ce lundi 13 juillet, Taoufik a dû partir précipitamment à Tunis pour rapatrier la dépouille de son frère aîné Hédi, qui vivait à Paris. Hédi est mort, soudainement suite à un cancer des poumons. Une mort qui a terriblement affecté Taoufik,  déjà marqué par la mort de sa sœur Mongia, après une longue lutte contre la maladie.

    Après l’enterrement, il s’est retrouvé manu militari derrière les barreaux. Transgressant la loi, les juges ont décidé de  jeter en prison le symbole de la liberté.

    Monsieur le Président,

    Taoufik Ben Brik, le nominé au prix Nobel de littérature en 2012, se retrouve dans une cellule sordide de la Révolution. On l’a jeté dedans pour le laisser crever. On ne l’assassinera pas avec une arme comme on a assassiné les leaders Belaïd et Brahmi... On l’assassinera proprement. On l’assassinera avec le Covid-19.  Ainsi, ils pourront dire «C’est  pas nous, c’est Allah.»

    Des hommes passent et trépassent, mais l’histoire contemporaine de la Tunisie, retiendra que TBB, a été emprisonné sous la dictature policière de Ben Ali, et qu’il a été, encore une fois, emprisonné sous la troisième république d’après la Révolution. L’histoire retiendra aussi, qu’après Bourguiba, il y a eu un seul homme qui a dit : NON BASTA. Il est l’unique, car il n’a cherché aucun contre partie, sauf sa liberté. L’histoire retiendra, qu’au lieu de gratifier et d’honorer la plume d’or de TBB, les juges tunisiens ont préféré la faire taire.

     3antara Ibn Chaded, le Tunisien est sous les verrous. New York Times, l’a comparé à Maradonna de l’écriture. Milan Kundera l’a comparé à Charles Boukovski et à Dostoïevski… Lui, aime être Taoufik Ben Brik. TBB, tout court.

    Le Ben Brik, le poète est aujourd’hui sans liberté. Il a été jugé criminel pour avoir mis à nu la partialité des magistrats tunisiens, pour avoir dénoncé cette même justice, qui sous le dictateur Ben Ali l’a embastillé injustement… Un crime de lèse-magistrat.  Auteur de pamphlets acerbes contre toutes les formes de médiocrité et des dérives autocratiques des différents régimes en Tunisie, Ben Brik dort dans la prison de Mornaguia, à Tunis, à 1800 km,  loin de sa famille. Un an ferme pour la plume libre, l’ami et le complice des plus grands intellectuels et romanciers dans le monde entier. Il dormira dans une cellule miséreuse de la Révolution, lui qui a payé cher de sa santé, de sa sécurité et de la sécurité de sa famille pour la chute du Dictateur.

    Monsieur le Président, 

    « Chaque fois que je te vois, je vois la plume libre, je vois la liberté… », N’est-ce vous qui aimez dire cela à TBB, chaque fois que vous allez le rencontrer au le café El Queen ?

    Vous, qui êtes un homme de lois, ne permettez pas que quelques magistrats souillent la justice. Ne permettez pas que sous la  troisième République que vous présidez la justice soit injuste ! Ne permettez pas que votre nom soit associé à l’embastillement du symbole de la Liberté ! Ne permettez pas que votre nom soit associé à l’embastillement de TBB !

    Monsieur le  Président,

    Vous êtes l’espoir de tous les Tunisiens qui voient en vous l’unique salvateur. Les Tunisiens croient en vous. Les Tunisiens comptent sur vous.

    Monsieur le Président,

    La vie de mon mari est en jeu.  La vie de mon mari est entre vos mains. Vos engagements  en faveur des droits l’homme, de la justice et de la liberté d’expression seront l'unique bouclier pour sauver notre pays.

    Ceci un cri de détresse que je vous adresse. C’est un appel au secours émanant d’une mère sans défense, d’une épouse en désarroi, mais encore,  d’une femme attachée aux valeurs humanitaires et à la liberté.

    J’implore le bon père que vous êtes, le tendre mari que vous êtes, le chef d’Etat d’une Tunisie républicaine que vous essayer d’instaurer.

    Monsieur le Président,

    Je vous demande une grâce, c’est Taoufik  Ben Brik, acceptez le tel qu’il est. C’est le fou de Tunis.

     

     

    Azza ZARRAD (épouse de Taoufik Ben Brik)


    mardi 14 juillet 2020

    Bras de fer Fakhfakh – Ennahdha : ces ministres qui partiront… ne partiront pas

    Bras de fer Fakhfakh – Ennahdha : ces ministres qui partiront… ne partiront pas

    Certains sont dûment encartés au sein du parti Ennahdha, voire membres de ses instances (Mekki, Maarouf, Zitoun, Gaaloul…), d’autres sont comptés, bien qu’inscrits en tant qu’indépendants, parmi les « proches » du mouvement islamique. Alors que, dans une troisième catégorie, on trouve ceux qui bénéficient de l’appréciation et du soutien du parti de Rached Ghannouchi et auraient été fortement recommandés pour figurer au gouvernement. Maintenant que la rupture avec Ennahdha se précise et que Fakhfakh s’apprête à procéder à un remaniement de son gouvernement, qui partira et qui ne partira pas, parmi les ministres attribués au mouvement islamique ?

    D’abord, de qui s’agit-il ?

    Toutes catégories confondues, on ne relève pas moins de neuf ministres :

    1. Anouar Maarouf : Ministre d’État, du Transport et de la Logistique :
    2. Lotfi Zitoun : Ministre des Affaires locales :
    3. Abdellatif Mekki : Ministre de la Santé 
    4. Mongi Marzoug : Ministre de l’Énergie et des Mines et de la transition énergétique 
    5. Ahmed Gaaloul : Ministre de la Jeunesse et des Sports 
    6. Habib Kechaou : Ministre des Affaires sociales
    7. Slim Choura : Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique
    8. Moncef Selliti : Ministre de l’Équipement
    9. Oussama Kheriji : Ministre de l’Agriculture, de la Pêche et des Ressources hydrauliques.

    Le degré d’appartenance / affinité est différent d’un ministre à un autre. Mais, ils doivent tous leur poste à la bénédiction de la Choura d’Ennahdha. Le cas de Habib Kechaou est particulier. Ancien conseiller social auprès de trois chefs de gouvernement successifs (Hamadi Jebali, Ali Laarayedh et Mehdi Jomaa 2011 – 2014), puis recyclé à la tête d’une société pétrolière tuniso-libyenne, Joint Oil, ce maitrisard de l’Institut national du Travail, est un spécialiste des relations professionnelles. Il a ses entrées privilégiées auprès des organisations syndicales (UGTT, UTICA et UTAP) et jouit de bonnes relations avec leurs dirigeants. « Facilitateur, médiateur, rapprocheur », il est dans son statut, réservant cependant sa préférence première à Ennahdha où il compte de nombreux amis proches.

    Resteront-ils en poste ?

    Fakhfakh entend devancer les événements et remplacer ceux qui seront retirés par leur parti. Retirés, car rien ne confirme que tous sont disposés à partir. Certains ministres interrogés par Leaders confient qu’ils suivent de près l’évolution de la situation et mènent des consultations avant d’annoncer leur décision. Mais, d’ores et déjà, un ministre de premier plan au gouvernement et à Ennahdha, laisse entendre qu’il se maintiendra en poste… pour le moment.
    Le chef du gouvernement profitera de ce remaniement pour revoir son architecture et se délester de certains ministres qu’il ne juge pas très efficaces ? Ce n’est pas exclu et cela pourrait constituer pour lui une bonne opportunité pour resserrer son équipe et la muscler.

    Et les conseillers ?

    Reste la question des conseillers techniques et chargés de mission, tant à la Kasbah que dans les départements ministériels qui seront concernés. A la Kasbah, officiellement, les décrets publiés au JORT ne révèlent la nomination d’aucune personne membre ou proche d’Ennahdha. L’ancien ministre Imed Hammami (Emploi, Industrie et Santé) que la rumeur avait porté au cabinet de Fakhfakh, n’y officie pas en fait. Pas plus qu’Oussama Ben Salem.Dans les cabinets ministériels, c’est une autre affaire. Il est que chaque ministre s’est entouré des siens, nommé pour la plupart un chef de cabinet de son choix et appelé auprès de lui des membres de sa mouvance. Il y aura alors ceux qui partiront d’eux-mêmes avec le départ de leur ministre, et ceux qui traîneront le pas, espérant leur maintien par son successeur. Bref, la valse est inévitable. A quel prix ?

    Qui seraient les remplaçants ?

    La liste des prétendants est longue. Il y a d’abord les recalés de la formation en février dernier du premier gouvernement Fakhfakh. Sans perdre espoir, ils s’échinent à vouloir mettre pied à l’étrier, même pour un poste de secrétaire d’Etat. Des partis membres de la coalition gouvernementale survivante demanderaient à améliorer leur représentation en s’adjugeant de nouveaux ministères. Comme il y a aussi, certains ministres sans porte-feuille ou souhaitant changer de département qui ne manqueraient pas de faire savoir au chef du gouvernement leur souhait pour tel ou tel ministère. A moins que dans une initiative politique, Fakhfakh décide d’élargir sa ceinture politique et de rallier à son gouvernement des députés indépendants ou des représentants d’autres partis.

    Une partie serrée s’annonce.

    Leaders

    lundi 13 juillet 2020

    Menaces terroristes à son encontre : Taboubi devant la brigade de l’Aouina


    Le secrétaire-général de l’Union Générale Tunisienne du Travail (Ugtt) Noureddine Taboubi a comparu ce lundi 13 juillet devant la brigade spéciale de lutte contre le terrorisme de l’Aouina pour l’informer de l’existence de plans terroristes le ciblant, selon les informations de Mosaïque FM.

    En effet, toujours selon cette source, un plan terroriste très dangereux ciblerait Noureddine Taboubi, l’UGTT ainsi que d’autres institutions sensibles en Tunisie.

    La centrale syndicale ne cesse de mettre en garde contre le retour au carré de la violence politique et sociale. Dans un contexte politique et social peu confortable, l’Union Générale Tunisienne du Travail avait  décidé d’adresser une lettre ouverte aux trois présidences pour les alerter sur la situation générale du pays. Car, selon elle, le pays va de mal en pis alors que la classe politique se penche sur ses intérêts politiques.

    Le secrétaire général de l’Union Générale Tunisienne du Travail Noureddine Taboubi avait appelé ce mardi 7 juillet à des élections anticipées en Tunisie. Selon ses dires il s’agit du scénario le plus adéquat pour faire sortir la Tunisie de l’actuelle crise.

    Source  Webdo

    mercredi 1 juillet 2020

    Ou Faire le Test PCR exiger pour rentrer en Espace Schengen

    La réalisation de tests de diagnostic de covid-19 (209 DT,) pour les voyageurs dont le pays de destination exige un diagnostic négatif pour entrer sur leur territoire s’effectue à l’Institut Pasteur de Tunis.
    Le Rendez-vous doit être pris avant les 72h (4 jours). La personne doit se présenter au rendez-vous indiqué par l'IPT. Toute personne qui se présente sans rendez-vous ne sera pas prise en charge. Le résultat est transmis après 48h. Voici le numéro à contacter : 94208076 (Dr. Radhia Ammi radhia.ammi@pasteur.tn, chef du service des consultants externes), de 8h00 à 17h00.

    Tests PCR bientôt disponibles à Kara - République Togolaise